1. bienvenida
¡Bienvenidos al increíble Castillo de Pedraza!
¡Pasen, vean, escuchen y disfruten de una feliz estancia en este maravilloso castillo.
A lo largo del recorrido podrás ver unas flechas que puedes seguir para no perderte.
Para empezar el recorrido sitúate en el centro del patio de la entrada, cerca de la taquilla. y pasa al siguiente audio.
Welcome
Welcome to the amazing Pedraza Castle!
Come in, see, listen and enjoy a happy stay in this wonderful castle!
Along the tour you will see some arrows that you can follow in order not to get lost.
To start the tour, place yourself in the center of the entrance courtyard, near the ticket office, and go to the next audio.
Bienvenue dans l’incroyable château de Pedraza !
Entrez, observez, écoutez et profitez d’un agréable séjour dans ce merveilleux château.
Tout au long de la visite, vous verrez des flèches que vous pourrez suivre pour ne pas vous perdre. Pour commencer la visite, placez-vous au centre de la cour d’entrée, près de la billetterie, et passez à l’audio suivant.
1A. PEDRAZA Y SU CASTILLO
¿Por qué se llama Pedraza? Fácil. Pedraza es un pueblo muy antiguo que fue declarado lugar histórico en 1951. Su nombre viene del latín, de la palabra «petra», que significa «piedra» o «roca». Y esto tiene sentido porque el pueblo está construido sobre una gran roca, lo que lo ha hecho un lugar muy importante y fácil de defender desde hace siglos.
El primer castillo, de estilo románico, lo construyó en el siglo XIII Fernán García de Hita, que era un nombre importante de Castilla. Pero… las familias Herrera y Fernández de Velasco lo reconstruyeron en los siglos XV y XVI y lo convirtieron en el castillo que vemos hoy.
Estas dos familias son bastante importantes en cuanto a la historia del castillo, mira:
Los Herrera fueron los primeros en usar el castillo como una fortaleza para defender la región y más tarde, los Fernández de Velasco, lo convirtieron en un símbolo de poder y prestigio. Y es que los castillos pasaron de ser lugares de defensa a convertirse en residencias elegantes para nobles, o sea, los ricos.
¿pero por qué era Pedraza tan importante?
Pues porque muchos nobles ricos y comerciantes de lana merina (que era una lana que se exportaba a los Países Bajos para hacer tapices) se establecieron allí. Por lo tanto…Pedraza era un centro de poder, economía y administración en el país. La cosa es que, con el paso del tiempo, las ovejas dejaron de tener tanta importancia, los feudos desaparecieron y, por lo tanto, el castillo perdió su esplendor. Acabó siendo abandonado hasta que, en 1926, el pintor Ignacio Zuloaga lo compró por 13.000 pesetas (78€) y lo restauró, convirtiéndolo en su estudio de pintura y su hogar.
¿Sabías que… Uno de los eventos más conocidos de Pedraza es la “Noche de las Velas”, en julio?. Durante esta noche, todas las luces eléctricas del pueblo se apagan y miles de velas iluminan las calles y plazas, creando un ambiente mágico.
Pedraza and its Castle
Why is it called Pedraza? Easy. Pedraza is a very old town that was declared a historic site in 1951. Its name comes from Latin, from the word “petra,” which means “stone” or “rock.” And this makes sense because the town is built on a large rock, making it an important and easily defensible place for centuries.
The first castle, built in the Romanesque style, was constructed in the 13th century by Fernán García de Hita, an important name in Castile.
But… the Herrera and Fernández de Velasco families rebuilt it in the 15th and 16th centuries, turning it into the castle we see today. These two families are quite important in the history of the castle. Check this out:
The Herreras were the first to use the castle as a fortress to defend the region, and later, the Fernández de Velasco family turned it into a symbol of power and prestige. Castles went from being places of defense to becoming elegant residences for nobles, or in other words, the rich. Why was Pedraza so important?
Well, because many wealthy nobles and merchants of merino wool (which was exported to the Netherlands to make tapestries) settled there. So… Pedraza was a center of power, economy, and administration in the country. It’s like a living museum of those times of splendor. But, over time, sheep farming lost its importance, the feudal system disappeared, and so the castle lost its splendor. It ended up being abandoned until 1926, when the painter Ignacio Zuloaga bought it for 13,000 pesetas (78 euros) and restored it, turning it into his painting studio and home.
Did you know?… One of the most famous events in Pedraza is the “Night of the Candles,” in July. During this night, all the electric lights in the town are turned off, and thousands of candles light up the streets and squares, creating a magical atmosphere.
PEDRAZA ET SON CHÂTEAU
Pourquoi s’appelle-t-il Pedraza ? C’est simple. Pedraza est un village très ancien qui a été déclaré site historique en 1951. Son nom vient du latin « petra », qui signifie « pierre » ou « rocher ». Cela est logique, car le village est construit sur un grand rocher, ce qui en a fait un lieu très important et facile à défendre depuis des siècles.
Le premier château, de style roman, a été construit au XIIIe siècle par Fernán García de Hita, un personnage important de Castille. Cependant, les familles Herrera et Fernández de Velasco l’ont reconstruit aux XVe et XVIe siècles et l’ont transformé en le château que nous voyons aujourd’hui.
Ces deux familles ont joué un rôle très important dans l’histoire du château. Veuillez noter que les Herrera ont été les premiers à utiliser le château comme forteresse pour défendre la région,
Les Herrera ont été les premiers à utiliser le château comme forteresse pour défendre la région, puis les Fernández de Velasco l’ont transformé en symbole de pouvoir et de prestige. En effet, les châteaux sont passés de lieux de défense à d’élégantes résidences pour les nobles, c’est-à-dire pour les riches.
Mais pourquoi Pedraza était-elle si importante ?
Parce que de nombreux nobles fortunés et marchands de laine mérinos (une laine exportée vers les Pays-Bas pour la fabrication de tapisseries) s’y sont installés. Pedraza était donc un centre de pouvoir, d’économie et d’administration dans le pays. Cependant, au fil du temps, les moutons ont perdu de leur importance, les fiefs ont disparu et, par conséquent, le château a perdu de sa splendeur. Il a fini par être abandonné jusqu’à ce qu’en 1926, le peintre Ignacio Zuloaga l’achète pour 13 000 pesetas (78 €) et le restaure, le transformant en atelier de peinture et en résidence.
Le château a appartenu à la famille Zuloaga pendant 98 ans. Après le décès de la petite-fille et héritière du peintre, María Rosa Suárez-Zuloaga, en 2021, ses descendants l’ont mis en vente jusqu’à ce qu’il soit acquis par les propriétaires actuels.
Depuis juillet 2024, le château de Pedraza appartient à un groupe d’entreprises appelé Teatrópolis, formé par le producteur de spectacles Luis Álvarez, ainsi que Santiago Segura et José Mota, qui dirigent également des théâtres à Madrid, tels que le Gran Teatrro CaixaBank Príncipe Pío et le Gran Teatro Pavón.
Grâce à cette nouvelle gestion par des représentants du monde des loisirs et du divertissement, le château de Pedraza est aujourd’hui un lieu privilégié à visiter, où l’on peut également profiter de bonne musique entre des murs chargés d’histoire, à la lumière de la lune ou des bougies.
Saviez-vous que… L’un des événements les plus connus de Pedraza est la « Nuit des bougies », en juillet ? Au cours de cette nuit, toutes les lumières électriques du village sont éteintes et des milliers de bougies illuminent les rues et les places, créant une atmosphère magique.
1B. LA MURALLA
¿Cómo la construyeron?
Construyeron la muralla en el siglo XIII con piedra muy resistente, aunque han tenido que repararla varias veces para mantenerla en pie.
A lo largo de los años, ni el mal tiempo ni los ataques enemigos lograron destruir la muralla. Aunque, si miras de cerca, podrás ver las marcas de proyectiles antiguos, como piedras de catapultas, balas de cañón, y disparos de armas antiguas como mosquetes. Si te fijas bien, puedes intentar encontrar estas marcas en la fachada del castillo.
Aún así, los proyectiles no fueron lo peor, el mayor daño que sufrió el castillo fue cuando lo abandonaron, y los vecinos se llevaron piedras y otros materiales para construir sus propias casas. Se cree que la torre del homenaje perdió unos cinco metros de altura y que en algunas partes de la muralla faltan hasta dos o tres metros de piedra.
The Wall
And… how was it built?
The wall was built in the 13th century with very strong stone (though it has had to be repaired several times to keep it standing
Over the years, neither bad weather nor enemy attacks managed to destroy the wall. However, if you look closely, you can see the marks of ancient projectiles, like stones from catapults, cannonballs, and shots from old weapons like muskets. If you look carefully, you can try to spot these marks on the castle’s facade.
Remember that during the War of Independence against Napoleon, French troops invaded much of Spain, and many fortified towns like Pedraza suffered damage.
Even so, projectiles were not the worst. The most significant damage the castle suffered was when it was abandoned, and locals took stones and other materials to build their own houses. It is believed that the keep lost about five meters in height, and in some parts of the wall, up to two or three meters of stone are missing.
LA MURAILLE
Comment ont-ils été construits ?
La muraille a été construite au XIIIe siècle avec des pierres très résistantes, mais elle a dû être réparée à plusieurs reprises pour rester debout.
Au fil des ans, ni les intempéries ni les attaques ennemies n’ont réussi à détruire la muraille. Cependant, si vous regardez de près, vous pourrez voir les traces d’anciens projectiles, tels que des pierres de catapultes, des boulets de canon et des tirs d’armes anciennes, comme des mousquets. Si vous observez attentivement, vous pouvez essayer de trouver ces traces sur la façade du château.
Cependant, les projectiles n’ont pas été le pire ennemi du château. Les dommages les plus importants ont été causés lorsque le château a été abandonné et que les habitants ont emporté des pierres et d’autres matériaux pour construire leurs propres maisons. On estime que le donjon a perdu environ cinq mètres de hauteur et que, dans certaines parties du mur d’enceinte, il manque jusqu’à deux ou trois mètres de pierre.
2. PUERTA ESCAPATORIA
Al fondo de este patio de entrada, hay algo que de primeras, parece que no es muy importante pero la realidad es que era clave en caso de ataque: una puerta secreta de escape.
Aunque el castillo de Pedraza estaba hecho para resistir ataques, los dueños también pensaban en la posibilidad de que los enemigos ganaran. Ahí es donde entraba en juego esta salida de emergencia.
Esta puerta estaba muy bien escondida, solo quienes sabían dónde estaba podían usarla. Si el ataque duraba mucho y las cosas dentro del castillo se ponían muy difíciles, esta puerta permitía salir a buscar comida, agua o incluso huir.
Ahora dirígete a la cañonera que está situada justo enfrente del Portón de entrada y una vez allí, pasa al siguiente audio.
Escape Door
At the far end of this entrance courtyard, there is something that at first might not seem very important, but in reality, it was key in case of attack: a secret escape door.
Although Pedraza Castle was built to withstand attacks, the owners also considered the possibility of the enemies winning. That’s where this emergency exit came into play.
This door was very well hidden, only those who knew where it was could use it. If the attack lasted too long and things inside the castle became very difficult, this door allowed them to go out to get food, water, or even to flee.
Now head over to the cannon port that is located right in front of the entrance gate and once there, go to the next audio.
PORTE DE SECOURS
Au fond de cette cour d’entrée, il y a quelque chose qui, à première vue, ne semble pas très important, mais qui était en réalité essentiel en cas d’attaque : une porte de secours secrète.
Bien que le château de Pedraza ait été conçu pour résister aux attaques, ses propriétaires envisageaient également la possibilité que les ennemis l’emportent. C’est là que cette issue de secours entrait en jeu.
Cette porte était très bien cachée. Seuls ceux qui savaient où elle se trouvait pouvaient l’utiliser. Si l’attaque durait longtemps et que la situation à l’intérieur du château devenait très difficile, cette porte permettait de sortir pour chercher de la nourriture, de l’eau ou même de s’enfuir.
Maintenant, dirigez-vous vers la canonnière située juste en face de la porte d’entrée et, une fois là-bas, passez à l’enregistrement audio suivant.
3. CAÑONERA
Aquí estamos frente a una parte súper importante de la defensa del castillo: la cañonera. Está estratégicamente colocada justo para apuntar directo a la puerta principal. Su trabajo era fácil: si los enemigos conseguían entrar por la puerta, desde aquí los defensores podían dispararles con un cañón.
Este tipo de defensas era común en los castillos y fortalezas de la época.
La cañonera no es muy grande, por lo tanto, parece que aquí se usaba un cañón pequeño, llamado falconete. Este cañón era más fácil de mover y disparaba balas más pequeñas, pero suficientemente fuertes como para hacer bastante daño a cualquier enemigo que consiguiese entrar.
Dirígete al centro del patio de entrada donde verás un arco para pasar al siguiente patio. Antes de entrar por el arco, pasa al siguiente audio.
Cannon Port
Here we are in front of a very important part of the castle’s defense: the cannon port. It’s strategically placed to aim directly at the main gate. Its job was simple: if enemies managed to enter through the gate, the defenders could shoot them with a cannon.
This type of defense was common in castles and fortresses of the time.
The cannon port isn’t very big, so it seems a small cannon, called a falconet, was used here. This cannon was easier to move and fired smaller balls, but strong enough to cause significant damage to any enemy that managed to get in.
Go to the center of the entrance courtyard where you will see an archway to the next courtyard. Before you enter through the archway, go to the next audio.
CANONNIÈRE
Nous nous trouvons ici devant un élément fondamental pour la défense du château : la canonnière. Elle est stratégiquement placée pour viser directement la porte principale. Son rôle était simple : si les ennemis parvenaient à franchir la porte, les défenseurs pouvaient leur tirer dessus avec un canon depuis cet endroit.
Ce type de défense était courant dans les châteaux et les forteresses de l’époque.
La canonnière n’est pas très grande, il semble donc qu’un petit canon, appelé falconet, y était utilisé. Ce canon était plus facile à déplacer et tirait des boulets plus petits, mais suffisamment puissants pour endommager tout ennemi qui parvenait à entrer.
Dirigez-vous vers le centre de la cour d’entrée, où vous verrez une arche permettant d’accéder à la cour suivante. Avant de passer sous l’arche, passez à l’enregistrement audio suivant.
4. EL PASADIZO DEL TIEMPO
Al entrar al pasadizo, el primer arco que ves es ojival de estilo gótico, con forma puntiaguda y el siguiente es románico de medio punto, con una forma más redondeada. Esto quiere decir que el castillo era más pequeño al principio y luego fue ampliado. La primera parte es del siglo XIII, y las ampliaciones y mejoras se hicieron a finales del siglo XV.
The passageway of time
As you enter the passageway, the first arch you see is Gothic, with a pointed shape, and the next one is Romanesque, with a more rounded shape. This means that the castle was smaller at first and then expanded. The first part dates back to the 13th century, and the extensions and improvements were made at the end of the 15th century.
LE PASSAGE DU TEMPS
En entrant dans le passage, la première arche que vous voyez est ogivale, de style gothique, avec une forme pointue ; la suivante est romane, en plein cintre, avec une forme plus arrondie. Cela signifie que le château était plus petit à l’origine et qu’il a ensuite été agrandi. La première partie date du XIIIe siècle, et les agrandissements et améliorations ont été réalisés à la fin du XVe siècle.
5. RASTRILLO
Casi todos los castillos tienen una puerta especial llamada rastrillo, que caía como una guillotina. En Pedraza, el rastrillo estaba en el arco románico de este pasaje. Aunque desapareció hace siglos, aún se ven marcas de donde estaba. Esta puerta, también conocida como hermética o peine, era esencial para la defensa de los castillos medievales.Al estar hecha de hierro y podía bajarse rápidamente para bloquear a los enemigos si atacaban por sorpresa.
Era la última barrera antes de llegar al interior del castillo, una verdadera trampa para los invasores. Incluso si los atacantes conseguían romper la puerta principal, se encontrarían atrapados en este pasadizo, teniendo que enfrentarse a los defensores.
Al salir del pasadizo y llegar al patio de armas, verás que la construcción cambia
Portcullis
Almost all castles have a special door called a portcullis, which would drop like a guillotine. In Pedraza, the portcullis was located in the Romanesque arch of this passage. Although it disappeared centuries ago, you can still see marks of where it was. This door, also known as a grille, was essential for the defense of medieval castles. It was made of iron and could be dropped quickly to block enemies in case of a surprise attack.
It was the last barrier before reaching the castle’s interior, a real trap for invaders. Even if the attackers managed to break through the main gate, they would find themselves stuck in this passageway, facing the defenders.
When you exit the passageway and reach the bailey, you’ll notice that the construction changes.
HARCELEMENT
Presque tous les châteaux ont une porte spéciale appelée herse, qui s’abaissait comme une guillotine. À Pedraza, le portail basculant se trouvait dans l’arc roman de ce passage. Bien qu’il ait disparu depuis des siècles, on peut encore voir les marques de son emplacement. Cette porte, également appelée porte hermétique ou porte à peigne, était essentielle à la défense des châteaux médiévaux, car elle était en fer et pouvait être abaissée rapidement pour bloquer les ennemis en cas d’attaque surprise.
Elle constituait la dernière barrière avant d’atteindre l’intérieur du château, un véritable piège pour les envahisseurs. Même si les assaillants parvenaient à enfoncer la porte principale, ils se retrouvaient piégés dans ce passage et devaient
6. EL PATIO DE ARMAS
Nos adentramos en el patio de armas. El patio de armas era el corazón del castillo, donde pasaba todo. Aquí se entrenaba a los soldados y se hacían eventos sociales. Antes era más pequeño, y había otras construcciones como habitaciones, establos y almacenes, pero todo fue destruido en un incendio.
Cuando Ignacio Zuloaga compró el castillo en 1926 estaba en ruinas, el fuego había acabado con varias partes del castillo y muchas piedras y elementos de su estructura habían desaparecido. Zuloaga lo restauró y rehabilitó las torres y el espacio entre ellas para construir su estudio y vivienda familiar. Además, convirtió parte del espacio en jardines. Construyó una piscina para su familia y daba clases de pintura allí, aprovechando la luz. Hoy en día, estos jardines son perfectos para fiestas, bodas y eventos. Además, el castillo ha sido usado como escenario para series y películas medievales como Isabel, Águila Roja y la serie de terror 30 monedas de Alex de la Iglesia.
The Bailey
We’re now in the bailey. The bailey was the heart of the castle, where everything happened. Soldiers were trained here, and social events took place. It used to be smaller, and there were other structures like rooms, stables, and storerooms, but all of them were destroyed in a fire.
When Ignacio Zuloaga, a famous Spanish painter known for his portraits and landscapes that depicted Spanish life and culture, bought the castle in 1926, it was in ruins. Fire had destroyed several parts of the castle, and many stones and structural elements were missing. Zuloaga restored it, rehabilitated the towers, and used the space between them to build his studio and family residence. He also converted part of the space into gardens. He built a pool for his family and gave painting classes there, taking advantage of the light. Today, these gardens are perfect for parties, weddings, and events. The castle has also been used as a set for medieval series and films, such as Isabel, Águila Roja, and the horror series 30 Coins by Álex de la Iglesia.
LA COUR D’ARMES
Nous entrons dans la cour d’armes. La cour d’armes était le cœur du château, où tout se passait. C’est là que les soldats s’entraînaient et que se déroulaient les événements sociaux. Autrefois, elle était plus petite et comprenait d’autres constructions telles que des chambres, des écuries et des entrepôts, mais tout a été détruit dans un incendie.
Lorsque Ignacio Zuloaga acheta le château, en 1926, celui-ci était en ruines. Le feu avait détruit plusieurs parties du bâtiment et de nombreuses pierres et éléments de sa structure avaient disparu. Zuloaga l’a restauré et a réhabilité les tours et l’espace entre elles pour y construire son atelier et sa maison familiale. Il a également transformé une partie de l’espace en jardins. Il a construit une piscine pour sa famille et y donnait des cours de peinture, profitant de la lumière. Aujourd’hui, ces jardins sont parfaits pour les fêtes, les mariages et les événements. De plus, le château a servi de décor à des séries et des films se déroulant au Moyen Âge, tels que « Isabel », « Águila Roja » et la série d’horreur « 30 monedas » d’Alex de la Iglesia.
6A. EL MURO
Las piedras de los muros cuentan prácticamente la historia del castillo. En el fondo norte del muro, se puede ver un levantamiento de piedra que es parte de la pared sobre la que apoyaban las vigas de madera con sus cabezales incrustados en la piedra. Esto significa que el edificio tenía tres pisos y que en el primero y segundo estaban la mayor parte de las habitaciones con grandes ventanas y banquitos laterales, para disfrutar de las vistas al bosque.
The Wall
The stones of the walls practically tell the history of the castle. On the north side of the wall, you can see a stone extension that is part of the wall where wooden beams were supported, with their heads embedded in the stone. This wall ran parallel to the outer wall. This means the building had three floors, with most of the rooms on the first and second floors, with large windows and side benches to enjoy views of the forest.
LE MUR
Les pierres des murs racontent pratiquement toute l’histoire du château. Au fond nord du mur, on peut voir un soulèvement de pierre, qui fait partie du mur sur lequel reposaient les poutres en bois, dont les têtes étaient encastrées dans la pierre. Cela signifie que le bâtiment comptait trois étages et que le premier et le deuxième étages abritaient la plupart des pièces, avec de grandes fenêtres et des banquettes latérales, pour profiter de la vue sur la forêt.
6B. EL CAMPANARIO
Si miras hacia arriba, justo encima de los tres arcos que has atravesado para acceder a este patio, aún se puede ver el arco donde colgaba una campana, que se conserva intacto y se puede ver desde lejos. Su construcción de piedra labrada superpuesta ha hecho que pueda mantenerse en el tiempo a pesar del viento y el hielo. Aunque ha pasado mucho tiempo, las cigüeñas lo usan para hacer sus nidos.
The Bell Tower
If you look up, just above the three arches that you have passed through to access this courtyard, you can still see the arch where a bell once hung, which remains intact and can be seen from afar. Its construction, with overlapping carved stones, has allowed it to withstand the weather, despite wind and ice. Although much time has passed, storks use it to build their nests.
LE CLOCHER
Si vous levez les yeux, juste au-dessus des trois arches que vous avez franchies pour accéder à cette cour, vous pouvez encore voir l’arche où était suspendue une cloche, qui est restée intacte et peut être aperçue de loin. Sa construction en pierre taillée superposée lui a permis de résister au temps, malgré le vent et le gel. Même si beaucoup de temps s’est écoulé, les cigognes l’utilisent pour faire leurs nids.
6C. LA MAZMORRA
Aunque hay una creencia popular de que todos los castillos tenían sus mazmorras, la realidad es que lo más común era encerrar a los presos en bodegas o habitaciones aisladas ya que no todos los castillos tenían su propia mazmorra. Sin embargo, el de Pedraza sí tiene una, y puedes visitarla. Está en el centro del patio de armas, tiene el escudo de la familia Herrera, está bajo tierra, y es oscura, fría y húmeda. Con el paso de los años y la falta de rehenes, dejó de usarse para encerrar a gente y en sus últimos años, se ha usado para guardar agua de lluvia.
The Dungeon
Although there’s a popular belief that all castles had dungeons, the reality is that it was more common to imprison people in cellars or isolated rooms since not all castles had their own dungeon. However, Pedraza Castle does have one, and you can visit it. It’s in the center of the bailey, with the Herrera family’s coat of arms, underground, dark, cold, and damp. Over the years and with fewer prisoners, it stopped being used to imprison people, and in its later years, it was used to store rainwater.
LE DONJON
Bien que la croyance populaire veuille que tous les châteaux aient eu leur donjon, il était en réalité plus courant d’enfermer les prisonniers dans des caves ou des pièces isolées, car tous les châteaux n’avaient pas leur propre donjon. Cependant, celui de Pedraza en possède un, et vous pouvez le visiter. Elle se trouve au centre de la cour d’armes, sous terre, et est sombre, froide et humide. Elle porte les armoiries de la famille Herrera. Au fil des ans et faute d’otages, elle a cessé d’être utilisée pour enfermer des personnes ; ces dernières années, elle a servi à stocker l’eau de pluie.
7. LAS LETRINAS
Las letrinas colgando de los muros más altos, eran un elemento común en los castillos medievales
La letrina de este castillo está subiendo hacia la torre residencial. Son como pequeños balcones con dos agujeros que permitían que cuando alguien tuviese que ir al baño, todo cayera fuera del castillo, gracias a la gravedad. Solían estar cerca de las habitaciones de los señores, y no era raro que las usaran dos personas a la vez, ya que no se daba tanta importancia a la privacidad como hoy.
¿Sabias que… en algunos castillos era importante proteger estos agujeros durante un ataque enemigo, ya que a veces intentaban entrar por ahí.?
The Latrines
The latrines hanging from the highest walls were a common feature in medieval castles.
The latrine in this castle is located as you climb toward the first keep, or residential tower. They are like small balconies with two holes that allowed everything to fall outside the castle, thanks to gravity. They were usually near the lords’ rooms, and it wasn’t uncommon for two people to use them at the same time, as privacy wasn’t as important as it is today.
Did you know… in some castles, it was important to protect these holes during an enemy attack, as sometimes attackers tried to enter through them?
LES LATRINES
Les latrines, suspendues aux murs les plus hauts, étaient un élément courant dans les châteaux médiévaux.
Les latrines de ce château montent vers la tour résidentielle. Elles ressemblent à de petits balcons avec deux trous qui permettaient, lorsque quelqu’un devait aller aux toilettes, que tout tombe à l’extérieur du château, grâce à la gravité. Elles se trouvaient généralement à proximité des chambres des seigneurs, et il n’était pas rare que deux personnes les utilisent en même temps, car on n’accordait pas autant d’importance à l’intimité qu’aujourd’hui.
Saviez-vous que… dans certains châteaux, il était important de protéger ces trous lors d’une attaque ennemie, car ceux-ci tentaient parfois d’y pénétrer ?
8. IGNACIO ZULOAGA
Ignacio Zuloaga nació en la localidad guipuzcoana de Eibar en 1870 y está considerado uno de los grandes pintores de España de finales del siglo XIX y principios del XX, y probablemente el artista más grande del costumbrismo español. Falleció en el año 1945 en Madrid.
Ignacio Zuloaga compró el castillo y la iglesia en 1926, salvando a Pedraza de convertirse en un pueblo abandonado. En su momento, en Pedraza había unos 1500 habitantes y cuando el pintor conoció la localidad, tan solo había 45 vecinos. Casi todas las casas de antiguos nobles y señores estaban abandonadas y en decadencia.
Cuando en 1925 Ignacio Zuloaga adquirió la fortaleza medieval de Pedraza lo primero que hizo fue frenar el espolio y el deterioro que estaba sufriendo
Ignacio Zuloaga
Ignacio Zuloaga was born in the Gipuzkoan town of Eibar in 1870 and is considered one of the great painters of Spain in the late nineteenth and early twentieth centuries, and probably the greatest artist of Spanish costumbrismo. He died in 1945 in Madrid.
Ignacio Zuloaga bought the castle and the church in 1926, saving Pedraza from becoming an abandoned town. At the time, Pedraza had about 1,500 inhabitants, but when the painter discovered the town, there were only 45 residents left. Almost all the houses of the former nobles were abandoned and in decay.
When in 1925 Ignacio Zuloaga acquired the medieval fortress of Pedraza, the first thing he did was to stop the spoliation and deterioration it was suffering.
IGNACIO ZULOAGA
Ignacio Zuloaga est né dans la ville d’Eibar, dans la province de Guipúzcoa, en 1870. Il est considéré comme l’un des grands peintres espagnols de la fin du XIXe et du début du XXe siècle et est probablement le plus grand artiste du costumbrismo espagnol. Il est décédé en 1945 à Madrid.
Ignacio Zuloaga acheta le château et l’église en 1926, sauvant ainsi Pedraza de l’abandon. À l’époque, Pedraza comptait environ 1 500 habitants, mais lorsque le peintre découvrit la localité, il n’y avait plus que 45 habitants. Presque toutes les maisons des anciens nobles et seigneurs étaient abandonnées et en ruine.
Lorsque, en 1925, Ignacio Zuloaga acquit la forteresse médiévale de Pedraza, la première chose qu’il fit fut de mettre un terme au pillage et à la détérioration dont elle était victime.
9. SALA ZULOAGA
En esta primera torre, situada en el interior, se encuentra instalada la Sala Zuloaga dedicada a homenajear al artistacon la exposición de algunas réplicas de sus cuadros más conocidos, sobre todo los que se usaron en billetes de pesetas que circularon en España en el siglo XX.
El régimen de Franco tras la guerra y quedarse España aislada, necesitaba hacerse fuerte consiguiendo que famosos de la época y artistas lo apoyaran. Por eso sacaron la obra de Zuloaga en varios billetes que a la vez le rendían homenaje directamente.
Concretamente fueron cuatro los billetes españoles que contenían pinturas de Ignacio Zuloaga y que podrás ver en está sala.
Zuloaga Hall
In this first tower, located in the interior, is installed the Zuloaga Hall dedicated to pay tribute to the artist with an exhibition of some replicas of his most famous paintings, especially those used in the banknotes that circulated in Spain in the twentieth century.
Franco’s regime, after the war and the isolation of Spain, needed to make itself strong by getting celebrities of the time and artists to support it. That is why Zuloaga’s work was featured on several banknotes that at the same time paid tribute to him directly.
Specifically, there were four Spanish banknotes that contained paintings by Ignacio Zuloaga, which you can see in this room.
SALLE ZULOAGA
Dans cette première tour, située à l’intérieur, se trouve la salle Zuloaga, dédiée à l’hommage rendu à l’artiste avec l’exposition de quelques reproductions de ses tableaux les plus connus, notamment ceux qui ont été utilisés sur les billets de pesetas en circulation en Espagne au XXe siècle.
Après la guerre, alors que l’Espagne était isolée, le régime de Franco avait besoin de se renforcer et l’une de ses stratégies consistait à obtenir le soutien des célébrités et des artistes de l’époque. C’est pourquoi il a fait figurer l’œuvre de Zuloaga sur plusieurs billets, lui rendant ainsi directement hommage.
Plus précisément, quatre billets espagnols comportaient des peintures d’Ignacio Zuloaga, que vous pourrez voir dans cette salle.
9A. LAS 5 PESETAS DE 1948
El primero fue el de las 5 pesetas de 1948. En él aparece un retrato de Juan Sebastián Elcano, un marino de Guipúzcoa que completó la primera vuelta al mundo en 1522.
El problema que encontró Zuloaga es que no había ninguna referencia de cómo era el aspecto de este marinero.
¿Sabias que? … ¿El retrato que aparece en el billete no es de Juan Sebastían Elcano sino de un amigo de Zuloaga llamado Pío Gogoza Egaña?. Zuloaga se imaginaba a Elcano como un vasco arrogante y esbelto. Así que buscó a un vasco de esas características que le sirviera de modelo, y lo encontró en un amigo suyo que se llamaba Pío Gogoza Egaña, un inspector municipal veterinario de Zumaya.
Imagínate!! Ver tu cara en los billetes sin ser nadie conocido!
El cuadro original se encuentra en el Palacio Provincial de Guipúzcoa desde 1921.
The 5 pesetas of 1948
The first was the 5 pesetas of 1948. On it appears a portrait of Juan Sebastián Elcano, a sailor from Guipúzcoa who completed the first round-the-world voyage in 1522.
The problem that Zuloaga encountered was that there was no reference of what this sailor looked like.
Did you know that … the portrait that appears on the banknote is not of Juan Sebastían Elcano but of a friend of Zuloaga’s named Pío Gogoza Egaña? Zuloaga imagined Elcano as an arrogant and slender Basque. So he looked for a Basque with those characteristics to serve him as a model, and he found him in a friend of his named Pío Gogoza Egaña, a municipal veterinary inspector from Zumaya.
Imagine! Seeing your face on the banknotes without being anyone you know!
The original painting has been in the Provincial Palace of Guipuzcoa since 1921.
LES 5 PESETAS DE 1948
Le premier était le billet de 5 pesetas de 1948. Il représentait un portrait de Juan Sebastián Elcano, un marin de Guipúzcoa qui a effectué le premier tour du monde en 1522.
Le problème rencontré par Zuloaga était qu’il n’existait aucune référence permettant de savoir à quoi ressemblait ce marin.
Saviez-vous que le portrait qui figure sur le billet n’est pas celui de Juan Sebastián Elcano, mais celui d’un ami de Zuloaga, nommé Pío Gogoza Egaña ? Zuloaga imaginait Elcano comme un Basque arrogant et élancé. Il a donc cherché un Basque correspondant à cette description qui pourrait lui servir d’ u de modèle, et l’a trouvé en la personne d’un de ses amis, Pío Gogoza Egaña, inspecteur vétérinaire municipal à Zumaya.
Imaginez ! Voir votre visage sur les billets sans être une personnalité connue !
Le tableau original se trouve au Palais provincial de Guipúzcoa depuis 1921.
9B. UNA PESETA DE 1951- HISTORIA DE UNA AMISTAD
Después, en 1951, vino el billete de una peseta. Un billete bastante conocido y el más usado!! Se hicieron 191 millones de ejemplares. Fue la penúltima peseta que se emitió en papel.
En el anverso del billete aparece un retrato de don Quijote de la Mancha, y en el reverso vemos elementos representativos del ingenioso hidalgo: yelmo, lanza, escudo, bacía y libros. dibujos que también hizo Zuloaga.
¿Sabías que estos dibujos los hizo Zuloaga como encargo de una escenografía para una ópera?
Te cuento: nos remontamos a 1918. Esta es la bonita historia de tres amigos. Winnaretta Singer, Manuel de Falla y Zuloaga. Te pongo en situación:
¿Quién era Winnaretta Singer?, ¿a que te suena el apellido “Singer”?.
Winnaretta Singer nació en Nueva York en 1865, heredera de la famosísima empresa de máquinas de coser Singer Corporation, Asi que te puedes imaginar, era multimillonaria.
Se casó muy joven con el Príncipe Louis de Scey-Montvéliard, porque Winnaretta buscaba por encima de todo, la libertad que solo podría darle un matrimonio concertado. Sin embargo, todos sabían que era lesbiana, cosa que ella no ocultaba en absoluto, y la Iglesia Católica decidió anular su matrimonio.
Pero Winnaretta se casó de nuevo y muy rápido, con el príncipe Edmond de Polignac, ¿y por que se caso siendo lesbiana?. Pues muy fácil, porque Edmod también era homosexual y 30 años mayor que ella. Por supuesto, no tuvieron hijos, pero eran muy buenos amigos y juntos consiguieron traer todo el arte y la cultura del mundo a la ciudad de París. Ella se convirtió en una gran mecenas, algo asi como un patrocinador de la época, e invirtió toda su fortuna en ayudar a artistas y a subvencionar obras. Asi es como conoció a los mejores músicos de su tiempo, entre ellos, Manuel de Falla.
¿sabías que Winnaretta tuvo relaciones también con muchas mujeres casadas?. Es Famoso el día en que el esposo de una de sus amantes gritaba a la puerta de su mansión “Si eres la mitad de hombre que crees que eres, vente afuera y pelea conmigo”.
Winnaretta llamó a Manuel de Falla y le propuso componer una ópera de cámara. Falla compuso la ópera, basada en el capítulo 26 de la segunda parte del Quijote. Consistía en una escena en la que unos titiriteros están representando una trama y Don Quijote, que como ya sabemos confundía la ficción con la realidad, desenvaina su espada y se pone a dar sablazos contra el teatro y los títeres.
Seguro que el título de está obra te suena, se llamó “El retablo de Maese Pedro.
¿sabías que Falla tardó más de 5 años en escribirla?
¿y que tiene que ver Zuloaga en todo esto?
Manuel de Falla e Ignacio Zuloaga se admiraban mutuamente como artistas. Se hicieron intimos amigos y esta relación de amistad les anima a trabajar juntos en un gran proyecto en el que la música y la escena, contaban con la dirección de ambos artistas. Falla se ocupó de la música y Zuloaga de la escenografía. Ya te puedes imaginar cual fue este gran proyecto, pues si, El retablo de maese Pedro”.
Pues, Zuloaga hizo un montón de bocetos, concretamente el dibujo de don Quijote que aparece con la famosa vacía de barbero es el que aparece en el billete de peseta de 1951.
De esta forma en el billete de 1 peseta, se hacía un triple homenaje a artistas españoles: Por un lado a Cervantes, por otro a Zuloaga y de manera indirecta a Falla, autor de la obra musical. Y todo gracias a Winnareta Singer.
1 peseta of 1951- History of a friendship
Then, in 1951, came the one peseta bill. A very well known and the most used banknote! 191 million copies were made. It was the penultimate peseta to be issued on paper.
On the front of the banknote there is a portrait of Don Quixote de la Mancha, and on the back we see representative elements of the ingenious nobleman: helmet, lance, shield, coat of arms and books. These drawings were also made by Zuloaga.
Did you know that these drawings were made by Zuloaga as a commission for a set design for an opera?
Let me tell you: we go back to 1918. This is the beautiful story of three friends. Winnaretta Singer, Manuel de Falla and Zuloaga. Let me put you in the picture:
Who was Winnaretta Singer, does the surname “Singer” ring a bell?
Winnaretta Singer was born in New York in 1865, heiress of the famous sewing machine company Singer Corporation, so you can imagine, she was a multimillionaire.
She married Prince Louis de Scey-Montvéliard at a very young age, because Winnaretta sought above all else the freedom that only an arranged marriage could give her. However, everyone knew that she was a lesbian, which she did not hide at all, and the Catholic Church decided to annul her marriage.
But Winnaretta married again and very quickly, with prince Edmond de Polignac, and why did she marry being a lesbian? Very easy, because Edmond was also homosexual and 30 years older than her. Of course, they had no children, but they were very good friends and together they managed to bring all the art and culture of the world to the city of Paris. She became a great patron, something like a patron of the time, and invested all her fortune in helping artists and subsidizing works. This is how she met the best musicians of her time, among them Manuel de Falla.
Did you know that Winnaretta also had relations with many married women? Famously, the husband of one of her lovers shouted at the door of her mansion “If you are half the man you think you are, come outside and fight with me”.
Winnaretta called Manuel de Falla and proposed to compose a chamber opera. Falla composed the opera, based on chapter 26 of the second part of Don Quixote. It consisted of a scene in which some puppeteers are representing a plot and Don Quixote, who as we already know confused fiction with reality, unsheathes his sword and starts beating the theater and the puppets.
Surely the title of this play is familiar to you, it was called “El retablo de Maese Pedro”.
Did you know that it took Falla more than 5 years to write it?
And what has Zuloaga to do with all this?
Manuel de Falla and Ignacio Zuloaga admired each other as artists. they became close friends and this friendship encouraged them to work together on a great project in which both artists directed the music and the stage. Falla was in charge of the music and Zuloaga of the scenography. You can imagine what this great project was, yes, El retablo de maese Pedro”.
Well, Zuloaga made a lot of sketches, concretely, the drawing of Don Quixote that appears with the famous barber’s empty is the one that appears on the 1951 peseta banknote.
In this way, the 1 peseta bill paid a triple homage to Spanish artists: on the one hand to Cervantes, on the other hand to Zuloaga and indirectly to Falla, author of the musical work. And all thanks to Winnareta Singer.
UNE PESETA DE 1951 – HISTOIRE D’UNE AMITIÉ
Puis, en 1951, vint le billet d’une peseta. Un billet assez connu et le plus utilisé. 191 millions d’exemplaires furent émis. Ce fut l’avant-dernière peseta en papier.
Au recto du billet figure un portrait de Don Quichotte de la Manche, et au verso, nous voyons des éléments représentatifs de l’ingénieux hidalgo : casque, lance, bouclier, cuvette et livres ; des dessins également réalisés par Zuloaga.
Saviez-vous que ces dessins ont été réalisés par Zuloaga sur commande pour les décors d’un opéra ? Je vous raconte.
Nous remontons à 1918. C’est la belle histoire de trois amis : Winnaretta Singer, Manuel de Falla et Zuloaga.
Je vous plante le décor :
Qui était Winnaretta Singer ? Le nom « Singer » vous dit-il quelque chose ?
Winnaretta Singer est née à New York en 1865, héritière de la célèbre entreprise de machines à coudre Singer Corporation. Vous pouvez donc imaginer : elle était multimillionnaire.
Elle s’est mariée très jeune avec le prince Louis de Scey-Montvéliard, car Winnaretta recherchait avant tout la liberté que seul un mariage arrangé pouvait lui offrir. Cependant, tout le monde savait qu’elle était lesbienne, ce qu’elle ne cachait absolument pas, et l’Église catholique a décidé d’annuler son mariage.
Mais Winnaretta s’est remariée très rapidement avec le prince Edmond de Polignac. Pourquoi s’est-elle mariée alors qu’elle était lesbienne ? C’est très simple : parce qu’Edmond était également homosexuel et avait 30 ans de plus qu’elle. Bien sûr, ils n’ont pas eu d’enfants, mais ils étaient de très bons amis et ensemble, ils ont réussi à attirer tout l’art et la culture du monde à Paris. Elle est devenue une grande mécène, une sorte de sponsor de l’époque, et a investi toute sa fortune pour aider les artistes et subventionner des œuvres. C’est ainsi qu’elle a rencontré les meilleurs musiciens de son temps, parmi lesquels Manuel de Falla.
Saviez-vous que Winnaretta a également eu des relations avec de nombreuses femmes mariées ? On se souvient notamment du jour où le mari d’une de ses maîtresses a crié devant la porte de son hôtel particulier : « Si vous êtes la moitié de l’homme que vous croyez être, venez dehors et battez-vous avec moi ».
Winnaretta a appelé Manuel de Falla et lui a proposé de composer un opéra de chambre. Falla a composé l’opéra, basé sur le chapitre 26 de la deuxième partie de Don Quichotte. Il s’agissait d’une scène dans laquelle des marionnettistes représentaient une intrigue et Don Quichotte, qui, comme nous le savons, confondait fiction et réalité, dégainait son épée et commençait à donner des coups de sabre contre le théâtre et les marionnettes.
Le titre de cette œuvre vous est certainement familier. Elle s’intitulait « El retablo de maese Pedro » (Le Retable de Maître Pierre).
Saviez-vous que Falla a mis plus de 5 ans à l’écrire ?
Et quel est le lien avec Zuloaga dans tout cela ?
Manuel de Falla et Ignacio Zuloaga s’admiraient mutuellement en tant qu’artistes. Ils sont devenus des amis intimes et cette amitié les a encouragés à travailler ensemble sur un grand projet dans lequel la musique et la mise en scène étaient dirigées par les deux artistes. Falla s’est occupé de la musique et Zuloaga de la scénographie. Vous pouvez déjà imaginer quel était ce grand projet. Eh bien oui : « El retablo de maese Pedro ».
Zuloaga a réalisé de nombreux croquis, parmi lesquels le dessin de Don Quichotte portant le célèbre bassin de barbier, qui figure sur le billet d’une peseta de 1951.
Ainsi, le billet d’une peseta rendait un triple hommage aux artistes espagnols : d’une part, à Cervantes, d’autre part, à Zuloaga et, indirectement, à Falla, auteur de l’œuvre musicale. Et tout cela grâce à Winnareta Singer.
9C. 500 PESETAS DE 1954
El billete de las 500 pesetas de 1954 es más un homenaje directo a Zuloaga. No sólo a su obra, sino a la misma persona.
En el anverso del billete sale su autorretrato que se hizo en 1942 cuando tenía 72 años. De hecho, es el último de los autorretratos que pintó y el más conocido de todos. Se llama “Autorretrato con fondo azul” y los críticos dicen que es magnífico.
En el cuadro completo aparece con sus pinceles de pintor, con chaleco, camisa, chaqueta y una boina, dando una imagen natural del pintor campechano, cercano… vamos de pueblo, pero a la vez digno y con mirada intensa.
Este autorretrato también apareció en los sellos de dos pesetas de 1971. Y a día de hoy, la obra original se conserva en la Fundación Zuloaga.
En el reverso del billete, se ve otra obra de Zuloaga que pintó en 1932: “Paisaje claro de Toledo”.
Para que te hagas una idea, Toledo no era una ciudad cualquiera para Zuloaga, la pintó hasta seis veces entre 1924 y 1938.
No es raro que se eligiera un paisaje castellano para este billete en vez de uno vasco, que es de donde era, porque el pintor también era un amante de Castilla, algo que tenía en común con otros artistas de la generación del 98.
500 pesetas of 1954
The 500 pesetas bill of 1954 is more a direct homage to Zuloaga. Not only to his work, but to the person himself.
On the front of the banknote is his self-portrait that he painted in 1942 when he was 72 years old. In fact, it is the last of the self-portraits he painted and the best known of all. It is called “Self-portrait with blue background” and critics say it is magnificent.
In the complete painting he appears with his painter’s brushes, with a vest, shirt, jacket and beret, giving a natural image of the country painter, close to the people, but at the same time dignified and with an intense look.
This self-portrait also appeared on the 1971 two-peseta stamps. And to this day, the original work is kept in the Zuloaga Foundation.
On the back of the banknote, you can see another work by Zuloaga that he painted in 1932: “Paisaje claro de Toledo” (Clear Landscape of Toledo).
To give you an idea, Toledo was not just any city for Zuloaga, he painted it up to six times between 1924 and 1938.
It is not strange that a Castilian landscape was chosen for this bill instead of a Basque one, which is where he was from, because the painter was also a lover of Castile, something he had in common with other artists of the generation of ’98.
500 PESETAS DE 1954
Le billet de 500 pesetas de 1954 est davantage un hommage direct à Zuloaga, non seulement à son œuvre, mais aussi à la personne elle-même.
Au recto du billet figure son autoportrait, réalisé en 1942, alors qu’il était âgé de 72 ans. Il s’agit en fait du dernier autoportrait qu’il ait peint et le plus connu de tous. Il s’intitule « Autoportrait sur fond bleu » et les critiques le qualifient de magnifique.
Sur le tableau complet, il apparaît avec ses pinceaux de peintre, vêtu d’un gilet, d’une chemise, d’une veste et d’un béret, donnant une image naturelle du peintre, affable, proche… bref, un homme du peuple, mais en même temps digne et au regard intense.
Cet autoportrait est également apparu sur les timbres de deux pesetas de 1971. Aujourd’hui, l’œuvre originale est conservée à la Fondation Zuloaga.
Au verso du billet, on peut voir une autre œuvre de Zuloaga, peinte en 1932 : « Paysage clair de Tolède ».
Pour vous donner une idée, Tolède n’était pas une ville comme les autres pour Zuloaga. Il l’a peinte à six reprises entre 1924 et 1938.
Il n’est pas surprenant qu’un paysage castillan ait été choisi pour ce billet, plutôt qu’un paysage basque, dont il était originaire, car le peintre était également un amoureux de la Castille, ce qu’il avait en commun avec d’autres artistes de la génération de 98.
9D. 100 PESETAS DE 1970
El de 100 pesetas de 1970 es el último billete en el que aparece la obra de Zuloaga. Este billete es un homenaje total a su gran amigo Manuel de Falla.
En el anverso aparece un retrato suyo y en el reverso una imagen de la Alhambra de Granada. ciudad que se vincula mucho con Falla porque a pesar de que no nació allí, sí que vivió en Granada durante mucho tiempo.
La última vez que se vieron fue en 1932 en Zumaya, en la casa de Zuloaga. Y fue allí donde le hizo el retrato tan conocido.
En esa obra se le ve como una persona madura, mayor, y medio enfermo. También aparece Granada. Así que este fue el retrato que se utilizó para representar a Falla en ese billete de 1970, que aparte de homenajear a Falla, también hace un homenaje a la amistad que tenía con Zuloaga.
Se ha utilizado en varios sellos españoles varias veces.
Al final Manuel de Falla emigró a Argentina en 1939, donde murió el 14 de noviembre de 1946 de tuberculosis, a los 69 años. Murió casi justo un año después de que falleciera Zuloaga en Madrid, el 31 de octubre de 1945.
100 pesetas of 1970
The 1970 100 pesetas is the last banknote on which Zuloaga’s work appears. This banknote is a total homage to his great friend Manuel de Falla.
On the front there is a portrait of him and on the back an image of the Alhambra in Granada, a city that is closely linked to Falla because although he was not born there, he did live in Granada for a long time.
The last time they saw each other was in 1932 in Zumaya, in Zuloaga’s house. It was there that he painted the well-known portrait of him.
In that work he is seen as a mature, elderly, and half sick person. Granada also appears. So this was the portrait that was used to represent Falla in this 1970 banknote, which apart from paying homage to Falla, also pays homage to the friendship he had with Zuloaga.
It has also been used on several Spanish stamps several times.
Manuel de Falla finally emigrated to Argentina in 1939, where he died on November 14, 1946 of tuberculosis, at the age of 69. He died almost a year after Zuloaga died in Madrid, on October 31, 1945.
100 PESETAS DE 1970
Le billet de 100 pesetas de 1970 est le dernier à représenter une œuvre de Zuloaga. Ce billet est un hommage complet à son grand ami Manuel de Falla.
Au recto figure son portrait et au verso, une image de l’Alhambra de Grenade, ville très liée à Falla car, bien qu’il ne soit pas né là-bas, il a vécu à Grenade pendant longtemps.
La dernière fois qu’ils se sont vus, c’était en 1932, à Zumaya, dans la maison de Zuloaga. C’est là qu’il a réalisé ce portrait très connu.
Dans cette œuvre, il apparaît comme une personne mûre, âgée et quelque peu malade. Grenade y figure également. C’est donc ce portrait qui a été utilisé pour représenter Falla sur ce billet de 1970 qui, outre l’hommage rendu à Falla, rend également hommage à l’amitié qui le liait à Zuloaga.
Il a été utilisé à plusieurs reprises sur divers timbres espagnols.
Finalement, Manuel de Falla émigra en Argentine en 1939, où il mourut le 14 novembre 1946 de la tuberculose, à l’âge de 69 ans. Il décéda presque un an après la mort de Zuloaga à Madrid, le 31 octobre 1945.
10. LA TORRE DEL HOMENAJE
En un castillo medieval, la torre del homenaje es la más alta y fuerte, y siempre está en la parte más difícil de atacar. Cuando Ignacio Zuloaga compró el castillo, arregló esta torre, que estaba en ruinas, y la convirtió en su estudio de pintura y vivienda.
El castillo tiene seis habitaciones que la familia Zuloaga construyó entre los restos de las dos torres para vivir. Cada una es diferente, y de hecho, podrías hospedarte en ellas porque están equipadas con baño moderno y climatización. ¿Te imaginas dormir en un castillo medieval con las comodidades de hoy?
The Keep
In a medieval castle, the keep is the tallest and strongest tower, and it is always located in the hardest part to attack. When Ignacio Zuloaga bought the castle, he restored this tower, which was in ruins, and turned it into his painting studio and residence.
The castle has six rooms that the Zuloaga family built between the remains of the two towers to live in. Each one is different, and in fact, you can stay in them because they are equipped with modern bathrooms and climate control. Can you imagine sleeping in a medieval castle with today’s comforts?
LA TOUR D’HOMMAGE
Dans un château médiéval, le donjon est la tour la plus haute et la plus solide, toujours située dans la partie la plus difficile à attaquer. Lorsque Ignacio Zuloaga a acheté le château, il a rénové cette tour en ruines et l’a transformée en atelier de peinture et en logement.
Le château compte six chambres, que la famille Zuloaga a construites entre les vestiges des deux tours pour y vivre. Chacune est différente et vous pouvez d’ailleurs y séjourner, car elles sont équipées d’une salle de bain moderne et de la climatisation. Imaginez-vous dormir dans un château médiéval avec tout le confort moderne ?
11. EL ESTUDIO
La sala principal de la torre del homenaje es un gran salón de piedra que Zuloaga usaba como su estudio de pintura. Tenía dos camas antiguas con dosel donde descansaba cuando lo necesitaba y una gran chimenea para mantenerse caliente en los días fríos
The Studio
The main room of the keep is a large stone hall that Zuloaga used as his painting studio. It had two old canopy beds where he rested when needed and a large fireplace to keep warm on cold days.
L’ATELIER
La salle principale du donjon est un grand salon en pierre que Zuloaga utilisait comme atelier de peinture. Il y avait deux lits à baldaquin anciens, où il se reposait quand il en avait besoin, et une grande cheminée pour se réchauffer pendant les journées froides.
12. SALA FRANCISCO I REY DE FRANCIA.
Este salón está dedicado a los hijos del Rey de Francia Francisco I. En 1529, dos hijos del rey de Francia, Francisco I, estuvieron retenidos en la torre del castillo de Pedraza. Esto fue para asegurarse de que su padre cumpliera el acuerdo que hizo con el emperador Carlos V después de ser capturado en la batalla de Pavía en 1525. Francisco I prometió entregar tierras a España a cambio de su libertad, pero como garantía, dejó a sus hijos, Enrique (de 7 años) y Carlos de Orleans (de 4 años), como rehenes.
Los niños estuvieron prisioneros en Pedraza hasta 1530, cuando fueron liberados tras un nuevo acuerdo entre Francia y España. Durante su tiempo en el castillo, se cuenta que vivieron en condiciones difíciles: mal vestidos, en una habitación oscura y fría, con solo unos perritos para entretenerse. Esta historia ha pasado de generación en generación, y se dice que, como venganza, las tropas de Napoleón quemaron el castillo siglos después.
Room Francis I King of France.
This room is dedicated to the children of the King of France Francis I. In 1529, two sons of the King of France, Francis I, were held in the tower of Pedraza Castle. This was to ensure that their father kept the agreement he made with Emperor Charles V after being captured at the Battle of Pavia in 1525. Francis I had promised to give up lands to Spain in exchange for his freedom, but as a guarantee, he left his sons, Henry (7 years old) and Charles of Orleans (4 years old), as hostages.
The children were imprisoned in Pedraza until 1530 when they were released following a new agreement between France and Spain. It is said that they lived in difficult conditions during their time in the castle: poorly dressed, in a dark, cold room, with only a few puppies to entertain them. This story has been passed down through generations, and it is said that, as revenge, Napoleon’s troops burned the castle centuries later.
SALLE FRANÇOIS IER, ROI DE FRANCE
Cette salle est dédiée aux fils du roi de France, François Ier. En 1529, deux fils du roi de France, François Ier, ont été retenus dans la tour du château de Pedraza. Cela visait à garantir que leur père respecterait l’accord qu’il avait conclu avec l’empereur Charles Quint après avoir été capturé lors de la bataille de Pavie en 1525. François Ier promit de céder des terres à l’Espagne en échange de sa liberté, mais, à titre de garantie, il laissa ses fils, Henri (7 ans) et Charles d’Orléans (4 ans), en otages.
Les enfants furent prisonniers à Pedraza jusqu’en 1530, date à laquelle ils furent libérés à la suite d’un nouvel accord entre la France et l’Espagne. Pendant leur séjour au château, on raconte qu’ils vivaient dans des conditions difficiles : mal vêtus, dans une pièce sombre et froide, avec pour seule distraction quelques petits chiens. Cette histoire s’est transmise de génération en génération et, selon la légende, les troupes de Napoléon auraient incendié le château des siècles plus tard en guise de vengeance.
13. EL PATIO DE LA IGLESIA
El patio que da al sur era el jardín de la iglesia. Antes había una pequeña capilla que ya no existe, solo queda la pila bautismal, que se puede ver junto al muro.
También, en el centro del patio hay un pozo muy profundo que todavía da agua, aunque está tapado por seguridad.
The church courtyard
The courtyard facing south was the garden of the church. There used to be a small chapel here, but it no longer exists. Only the baptismal font remains, which can be seen next to the wall. In the center of the courtyard, there is also a very deep well that still provides water, though it is covered for safety.
LA COUR DE L’ÉGLISE
La cour qui donne au sud était le jardin de l’église. Il y avait autrefois une petite chapelle qui n’existe plus aujourd’hui. Il ne reste que les fonts baptismaux, que l’on peut voir près du mur.
Au centre de la cour se trouve également un puits très profond qui fournit encore de l’eau, bien qu’il soit bouché pour des raisons de sécurité.
14. SALA LOS AMANTES ELVIRA Y ROBERTO. LA LEYENDA DEL CASTILLO
Como buen castillo medieval, el de Pedraza también tiene su leyenda y sus fantasmas. Se cuenta que un noble llamado don Sancho se encaprichó de una plebeya muy guapa que se llamaba Elvira, con la que se casó ejerciendo su derecho feudal. Pero… ella estaba enamorada de Roberto, un joven labrador que, desconsolado por la boda, se metió en un convento. Vamos, que se hizo monje.
Pasados los años, tras la muerte del capellán del castillo (osea el sacerdote encargado de realizar los servicios religiosos en el castillo) escogieron al antiguo labrador para que fuera a ocupar su puesto. Y por su parte Sancho tuvo que irse a la guerra para ayudar con la defensa de Castilla de la invasión de los almohades.
Elvira y Roberto se reencontraron y volvió a surgir el amor. Cuando don Sancho se enteró de la infidelidad, decidió castigar a Roberto y durante la celebración de una cena ordenó colocarle una corona de púas incandescentes, lo que hizo que Roberto muriese en el momento.
Doña Elvira, destrozada, corrió a sus aposentos a encerrarse, prendió fuego a la torre y se clavó una daga en el corazón. La leyenda dice que, en algunas noches de verano, se pueden ver las almas de los amantes caminando bajo un resplandor de fuego.
En la sala encontrarás un libro mágico. En Homenaje a Elvira y Roberto, estos dos amantes que vivieron su amor en secreto dentro de estos muros, nos gustaría que escribieras en este libro, quién es tu amor secreto para compartirlo con los protagonistas de nuestra leyenda. seguramente eso hará que no se sientan tan solos e incomprendidos, y quien sabe… igual esto hace que sus almas se liberen algún día.
Room “The lovers Elvira and Roberto”. The Legend of the Castle
Like any good medieval castle, Pedraza also has its legends and ghosts. It is said that a nobleman named Don Sancho became infatuated with a beautiful commoner named Elvira, whom he married by exercising his feudal right. But… she was in love with Roberto, a young farmer who, heartbroken by the wedding, entered a monastery and became a monk.
Years later, after the death of the castle chaplain (the priest responsible for religious services in the castle), the former farmer was chosen to take his place. Meanwhile, Sancho had to go to war to help defend Castile from the Almohad invasion.
Elvira and Roberto reunited, and their love rekindled. When Don Sancho learned of the infidelity, he decided to punish Roberto. During a dinner celebration, he ordered a crown of burning thorns to be placed on Roberto’s head, killing him instantly.
Doña Elvira, devastated, ran to her chambers, locked herself in, set the tower on fire, and stabbed herself in the heart with a dagger. Legend says that, on some summer nights, the souls of the lovers can be seen walking under a fiery glow.
In the room you will find a magical book. In homage to Elvira and Roberto, these two lovers who lived their love in secret within these walls, we would like you to write in this book, who is your secret love to share it with the protagonists of our legend. Surely this will make them not feel so alone and misunderstood, and who knows… maybe this will free their souls someday.
SALLE DES AMANTS ELVIRA ET ROBERTO. LA LÉGENDE DU CHÂTEAU
Comme tout château médiéval qui se respecte, celui de Pedraza a également sa légende et ses fantômes. On raconte qu’un noble nommé Don Sancho s’est épris d’une très belle roturière nommée Elvira, qu’il a épousée en exerçant son droit féodal. Cependant, elle était amoureuse de Roberto, un jeune laboureur qui, désespéré par ce mariage, est entré au couvent. En d’autres termes, il est devenu moine.
Au fil des années, après le décès du chapelain du château (c’est-à-dire le prêtre chargé d’assurer les services religieux au château), l’ancien laboureur fut choisi pour occuper son poste. De son côté, Sancho dut partir à la guerre pour aider à défendre la Castille contre l’invasion des Almohades.
Elvira et Roberto se retrouvèrent et leur amour renaquit. Lorsque Don Sancho apprit leur infidélité, il décida de punir Roberto et, pendant un dîner, il ordonna qu’on lui place une couronne de pointes incandescentes, ce qui provoqua la mort instantanée de Roberto.
Dona Elvira, dévastée, courut s’enfermer dans ses appartements, mit le feu à la tour et se transperça le cœur d’un poignard. La légende raconte que, certaines nuits d’été, on peut voir les âmes des amants marcher sous une lueur de feu.
Dans la salle, vous trouverez un livre magique : « En hommage à Elvira et Roberto », ces deux amants qui ont vécu leur amour en secret entre ces murs. Nous vous invitons à écrire dans ce livre qui est votre amour secret afin de le partager avec les protagonistes de notre légende. Cela leur permettra certainement de se sentir moins seuls et incompris et, qui sait, peut-être que cela permettra un jour à leurs âmes de se libérer.
15. EL MIRADOR
Lo que más llama la atención de este patio es el mirador que Zuloaga hizo construir deshaciendo parte de la muralla. Desde ahí, se pueden ver los bosques y unas increíbles puestas de sol sobre la sierra de Guadarrama.
Pedraza está en lo alto de una meseta, a 1060 metros de altura, así que te puedes imaginar lo increíbles que son las vistas. Alrededor del castillo, los campos suelen usarse para la agricultura y la cría de animales, lo que le da un aspecto rústico y muy tradicional.
Desde el castillo puedes sentir el fresquito del río Cega, que pasa cerca de Pedraza. Este río, que es parte del río Duero, ha ayudado a que los valles que están cerca sean fértiles.
La vegetación alrededor de Pedraza es la típica de la meseta castellana. Hay muchos árboles como encinas viejas, pinos, enebros, cipreses y sabinas que llenan el paisaje. También se ven
campos con cultivos de cereal y prados.
Puedes dirigirte hacia la salida para escuchar la siguiente historia sobre la puerta del castillo. El portón.
The Lookout
The most striking feature of this courtyard is the lookout that Zuloaga had built by dismantling part of the wall. From there, you can see the forests and enjoy incredible sunsets over the Sierra de Guadarrama.
Pedraza is located on top of a plateau, 1,060 meters above sea level, so you can imagine how amazing the views are. Around the castle, the fields are mostly used for agriculture and livestock, giving it a rustic and very traditional look.
From the castle, you can feel the cool breeze from the Cega River, which flows near Pedraza. This river, which is part of the Duero River, has helped make the nearby valleys fertile.
The vegetation around Pedraza is typical of the Castilian plateau. There are many trees like old holm oaks, pines, junipers, cypresses, and savins that fill the landscape. You can also see fields with cereal crops and meadows.
You can head towards the exit to hear the following story about the castle gate. The gate.
LE BELVÉDÈRE
Ce qui attire le plus l’attention dans cette cour, c’est le belvédère que Zuloaga a fait construire en démolissant une partie du mur d’enceinte. De là, on peut voir les forêts et d’incroyables couchers de soleil sur la sierra de Guadarrama.
Pedraza est située au sommet d’un plateau, à 1 060 mètres d’altitude, vous pouvez donc imaginer à quel point la vue est incroyable. Autour du château, les champs sont généralement utilisés pour l’agriculture et l’élevage, ce qui leur donne un aspect rustique et très traditionnel.
Depuis le château, vous pouvez sentir la fraîcheur de la rivière Cega, qui passe près de Pedraza. Cette rivière, qui fait partie du fleuve Duero, a contribué à la fertilité des vallées voisines.
La végétation autour de Pedraza est typique du plateau castillan. De nombreux arbres tels que des chênes verts, des pins, des genévriers, des cyprès et des sabines parsèment le paysage. On aperçoit également des champs de céréales et des prairies.
Veuillez vous diriger vers la sortie pour écouter la prochaine histoire sur la porte du château : le portail.
16. PORTÓN
Pocos castillos conservan su puerta original en tan buen estado como la del castillo de Pedraza. Tiene más de 500 años, pero sigue en pie gracias a varios factores. Primero, está hecha de álamo negro, una madera muy resistente, llena de nudos y casi inmune a la polilla cuando se seca bien.
Los pinchos de hierro que cubren la puerta se hicieron a mano uno por uno. Servían para amortiguar los golpes de los enemigos y daban al castillo una imagen de fuerza. Están asegurados a una placa de metal en la parte trasera para que no pudieran ser arrancados. Aunque algunos han desaparecido, sobre todo en la parte de abajo, todavía conserva muchos.
La llave de la puerta es la original y también es impresionante. Está hecha de una sola pieza de metal y pesa unos dos kilos. Aunque lleva 500 años funcionando, su mecanismo es muy simple: la propia llave empuja el pasador. Hoy en día hay una copia moderna por seguridad, pero sigue siendo un símbolo del castillo.
Gate
Few castles still have their original door in such good condition as the one at Pedraza Castle. It’s over 500 years old but still standing, thanks to several factors. First, it’s made of black poplar, a very strong wood, full of knots, and almost immune to woodworms when it dries well.
The iron spikes covering the door were handmade, one by one. They served to cushion enemy blows and gave the castle an image of strength. They are secured to a metal plate on the back so they couldn’t be ripped out. Although some are missing, especially at the bottom, many are still there.
The door’s key is the original and is also impressive. It’s made from a single piece of metal and weighs about two kilos. Even though it’s been working for 500 years, its mechanism is very simple: the key itself pushes the bolt. Nowadays, there is a modern copy for security, but it remains a symbol of the castle.
LA PORTE
Peu de châteaux ont conservé leur porte d’origine en aussi bon état que celle du château de Pedraza. Elle a plus de 500 ans, mais elle est toujours debout grâce à plusieurs facteurs. Tout d’abord, elle est fabriquée en bois de peuplier noir, un bois très résistant, plein de nœuds et presque immunisé contre les mites lorsqu’il est bien sec.
Les pointes en fer qui recouvrent la porte ont été fabriquées à la main, une par une. Elles servaient à amortir les coups des ennemis et donnaient au château une image de force. Elles sont fixées à une plaque métallique à l’arrière afin qu’elles ne puissent pas être arrachées. Bien que certaines aient disparu, surtout dans la partie inférieure, il en reste encore beaucoup.
La clé de la porte est d’origine et est également impressionnante. Elle est fabriquée d’une seule pièce de métal et pèse environ deux kilos. Bien qu’elle fonctionne depuis 500 ans, son mécanisme est très simple : la clé elle-même pousse le pêne. Aujourd’hui, il existe une copie moderne, pour des raisons de sécurité, mais elle reste un symbole du château.
17. ESCUDO
Una vez fuera del castillo, sobre el portón principal, en la fachada, se puede ver el escudo de los Fernández de Velasco tallado en piedra. Recuerda que esta familia era muy importante y que fue dueña del castillo y del pueblo de Pedraza. Además, mejoró el castillo, dándole un aspecto más elegante y lujoso.
Los escudos de esta familia se pueden ver en varios lugares del pueblo, como en la entrada y en la antigua cárcel, una torre medieval del siglo XII. Estos escudos eran una forma de mostrar el poder de los nobles sobre el lugar hasta que en 1812 las Cortes de Cádiz abolieron el régimen feudal.
Además, cada escudo tiene un significado. Por ejemplo, el de los Fernández de Velasco muestra su riqueza, poder y la protección de la familia con ocho piezas de oro que representan generosidad, y siete figuras que simbolizan nobleza y protección. Al pasear por Pedraza, puedes encontrar más escudos de otras familias importantes que vivieron allí, como los Astorga, Osuna, Salcedo, y muchas más.
Sabias que… el régimen feudal era una forma de organización de la sociedad en la Edad Media?. En este sistema, el rey le daba tierras a los nobles (osea a los ricos) a cambio de lealtad y ayuda militar. Los nobles, a su vez, dejaban que los campesinos vivieran y trabajaran en sus tierras, pero los campesinos tenían que dar una parte de lo que producían al noble y no eran completamente libres. A cambio, los nobles ofrecían protección y seguridad.
Coat of Arms
Once outside the castle, Above the main gate, on the facade, you can see the coat of arms of the Fernández de Velasco family, carved in stone. Remember that this family was very important and was the owner of the castle and the town of Pedraza. They also improved the castle, giving it a
These coats of arms were a way to show the nobles’ power over the area until 1812, when the Cortes of Cádiz abolished the feudal system.
Moreover, each coat of arms has a meaning. For example, the Fernández de Velasco coat of arms shows their wealth, power, and family protection with eight gold pieces representing generosity and seven figures symbolizing nobility and protection. As you walk through Pedraza, you can find more coats of arms from other important families that lived there, such as the Astorga, Osuna, Salcedo, and many others.
Did you know?… The feudal system was a way of organizing society in the Middle Ages. In this system, the king gave land to nobles (the rich) in exchange for loyalty and military aid. The nobles, in turn, let peasants live and work on their land, but the peasants had to give a portion of what they produced to the noble and were not completely free. In exchange, the nobles offered protection and security.
BLASON
Une fois à l’extérieur du château, au-dessus de la porte principale, sur la façade, on peut voir les armoiries des Fernández de Velasco sculptées dans la pierre. Il convient de rappeler que cette famille était très importante et qu’elle était propriétaire du château et du village de Pedraza. De plus, elle a amélioré le château, lui donnant un aspect plus élégant et luxueux.
Les blasons de cette famille sont visibles à plusieurs endroits du village, comme à l’entrée et dans l’ancienne prison, une tour médiévale du XIIe siècle. Ces blasons étaient un moyen de montrer le pouvoir des nobles sur le lieu, jusqu’à ce qu’en 1812, les Cortes de Cadix abolissent le régime féodal.
De plus, chaque blason a une signification. Par exemple, celui des Fernández de Velasco montre la richesse, le pouvoir et la protection de la famille, avec huit pièces d’or représentant l’ t la générosité et sept figures symbolisant la noblesse et la protection. En vous promenant dans Pedraza, vous pouvez trouver d’autres blasons d’autres familles importantes qui y ont vécu, comme les Astorga, Osuna, Salcedo et bien d’autres encore.
Saviez-vous que… le régime féodal était une forme d’organisation de la société au Moyen Âge ? Dans ce système, le roi donnait des terres aux nobles (c’est-à-dire aux riches) en échange de leur loyauté et de leur aide militaire. Les nobles, quant à eux, laissaient les paysans vivre et travailler sur leurs terres, mais ceux-ci devaient donner une partie de leur production au noble et n’étaient pas complètement libres. En échange, les nobles leur offraient protection et sécurité.
18. PUENTE LEVADIZO
Con el paso del tiempo y con la llegada de nuevas tecnologías, los puentes levadizos dejaron de ser útiles en los castillos y poco a poco fueron desapareciendo.
Sobre el portón todavía se pueden ver algunos restos de las poleas que levantaban el puente con cadenas. Cuando el puente estaba bajado, descansaba sobre unas vigas, que fueron reemplazadas por el muro de granito con bolas que aun puedes ver. Este puente levadizo hacía que el castillo fuese impenetrable.
Una vez que has cruzado el puente levadizo, verás más adelante a la izquierda una iglesia en ruinas. Es la Iglesia de Santa María.
Drawbridge
As time passed and new technologies arrived, drawbridges became less useful in castles, and little by little, they disappeared.
Above the gate, you can still see some remnants of the pulleys that lifted the bridge with chains. When the bridge was lowered, it rested on beams, which were replaced by the granite wall with balls that you can still see today. This drawbridge made the castle impenetrable.
Once you have crossed the drawbridge, you will see ahead on the left a church in ruins. It is the Church of Santa Maria.
PONT-LEVÉ
Avec le temps et l’arrivée des nouvelles technologies, les ponts-levis ont perdu leur utilité dans les châteaux et ont progressivement disparu.
Au-dessus de la porte, on peut encore voir quelques vestiges des poulies qui soulevaient le pont à l’aide de chaînes. Lorsque le pont était abaissé, il reposait sur des poutres, qui ont été remplacées par le mur de granit avec des boules que l’on peut encore voir aujourd’hui. Ce pont-levis rendait le château imprenable.
Une fois que vous aurez traversé le pont-levis, vous apercevrez plus loin, sur la gauche, une église en ruines. Il s’agit de l’église Santa María.
19. LA IGLESIA DE SANTA MARÍA
Con la compra del castillo y sus alrededores, Zuloaga también se quedó la antigua iglesia de Santa María que estaba totalmente en ruinas, como continua a dia de hoy. Puedes visitar lo que queda de ella caminando por la Calle de la Calzada hacia el pueblo. La iglesia fue construida entre los siglos XI y XII, y aunque no queda mucho en pie, aun se puede apreciar su ábside, la ventana de medio punto con arquivolta y sus capiteles, propios de la artesanía de la época.
Para entrar al castillo y al pueblo, como lo hacían nuestros antepasados, hay que pasar por una sola puerta: La Puerta de la Villa, que formaba parte del sistema de defensa antiguo.
Un poco más lejos está el Parque Natural de las Hoces del Río Duratón, perfecto para los fanáticos del senderismo y para ver paisajes increíbles, como los cañones que ha formado el río. ¡Es un lugar que no te puedes perder!
The Church of Santa María
When Zuloaga bought the castle and its surroundings, he also acquired the old Church of Santa María, which was in complete ruins, as it remains today. You can visit what’s left of it by walking along Calle de la Calzada toward the town. The church was built between the 11th and 12th centuries, and although not much remains, you can still see its apse, the semicircular window with an archivolt, and its capitals, typical of the craftsmanship of the time.
To enter the castle and the town, just like our ancestors did, you have to pass through a single gate: La Puerta de la Villa, which was part of the old defense system.
A little further away is the Natural Park of the Hoces del Río Duratón, perfect for hiking fans and for seeing incredible landscapes, like the canyons formed by the river. It’s a place you can’t miss!
L’ÉGLISE SANTA MARÍA
Avec l’achat du château et de ses environs, Zuloaga a également acquis l’ancienne église Santa María, qui était alors en ruines, comme c’est encore le cas aujourd’hui. Vous pouvez visiter ce qu’il en reste en empruntant la rue de la Calzada en direction du village.
L’église a été construite entre le XIe et le XIIe siècle et, bien qu’il n’en reste pas grand-chose, on peut encore apprécier son abside, sa fenêtre en plein cintre avec archivolte et ses chapiteaux, caractéristiques de l’architecture de l’époque.
Pour entrer dans le château et le village comme le faisaient nos ancêtres, il faut passer par une seule porte : la porte de la ville, qui faisait partie de l’ancien système de défense.
Un peu plus loin se trouve le parc naturel des Hoces del Río Duratón, idéal pour les amateurs de randonnée et pour admirer des paysages incroyables, tels que les canyons formés par la rivière. C’est un lieu à ne pas manquer.
20. DESPEDIDA
Y aquí termina la visita al Castillo de Pedraza, esperamos que hayas disfrutado de está audio-guía y que su contenido te haya parecido interesante.
Te damos las gracias por tu visita y ¡ojalá vuelvas pronto! ¡Adiós!
Farewell
And here ends the visit to Pedraza Castle, we hope you have enjoyed this audio-guide and that you have found its content interesting.
We thank you for your visit and hope you come back soon! Goodbye!
AU REVOIR
Et voilà, la visite du château de Pedraza touche à sa fin. Nous espérons que vous avez apprécié cet audioguide et que son contenu vous a intéressé.
Nous vous remercions de votre visite et espérons vous revoir bientôt. Au revoir.